One is straight away struck by a paucity of words availed to expound this chanced-upon poiesis born in crevasses of cultural hybridity and nourished in the no man's lands of ascetic transmutation

Nina Kandinsky

Nina, forever young at 80 years, walked through Gastaat with all of her diamonds on day and night. One night she was strangled by and for her diamond reverie, but then found them in quantities hidden behind the radiators. She lived just for that, as her friends the old billionaires who held the New York galleries in the 50s and 60s (before the tsar Castelli) lived just for whisky. A little babyish but managing Kandinsky's funds very well, like every painter's widow, she only had a liking for "her" period, forsaking Kandinsky's own best painting — that of Munich — created under the reign of a mistress — there's another.

Nina, toujours jeune a 80 ans, se promenait à Gastaat avec tous ses diamants en plein jour, en pleine nuit. Une nuit elle a été étranglée par et pour sa rivière de diamants, mais on en a trouvé des quantités cachés derrière les radiateurs. Elle ne vivait que pour cela, comme ses amies les vieilles milliardaires comme ses amies les vieilles milliardaires qui tenaient les galeries de New-York en 50-60 avant le tzar Castelli) ne vivaient que pour le whisky. Un peu bébête mais gérant très bien le fonds Kandinsky, elle n'avait comme toutes les veuves de peintres que " sa " période, délaissant la meilleure période de Kandinsky – celle de Munich, mais faite sous le règne d'une maitresse – à une autre.
 
(Laubies, 2001.)

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