His flair is inexplicable; if not for that, it would be too easy and everyone would have some! When seeing a painting for the first time Facchetti senses what is new in it, what is personal, while the others all look at what can sell, what it resembles. In the film that was recently dedicated to him, one sees Facchetti walking in his gallery. It's his garden: Sima, Pollock, Hundertwasser, Michaux, Dubuffet and Laubiès. He never listened, that's his taste, he persisted and did not cede. Few galleries can therefore pride themselves in so many discoveries that mark their era. Just as he knew how to find the young painters, he exposed through his photographs the personality of Breton, Ossorio, Gracq, Michaux, Fautrier, Sima, Wols...
Le flair ne s'explique pas, sans quoi cela serait trop facile, tout le monde en aurait ! Facchetti voyant un tableau pour la première fois sentait ce qu'il y avait de nouveau, de personnel, alors que tous les autres cherchent ce qu'on peut vendre, à quoi cela ressemble. Dans le film qui vient de lui être consacré, on voit Facchetti se promener dans sa galerie. C'est son jardin : Sima, Pollock, Hundertwasser, Michaux, Dubuffet et Laubiès. Il n'a jamais écouté que son goût, s'entête et ne cède pas. Peu de galeries peuvent s'enorgueillir de tant de découvertes qui ont marquee leur époque. De même qu'il a su trouver les jeunes peintres, il a montré dans ses photos la personnalité de Breton, Ossorio, Gracq, Michaux, Fautrier, Sima, Wols...
(Laubiès, 2001.)
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